PAR ROMUALD VINACE
PHOTOS F-BOUKLA@ACTIV’IMAGES

Chantal Galus, Responsable de marque St-Yorre et Magalie Lefebvre Jeanmart consultante sport évoquent l’entrée de marque dans l’univers triathlon envers en filigrane, les éco- gestes et la réponse à une demande croissante et toujours plus pointue des athlètes

La marque Saint-Yorre se fait une place de choix dans le marché pourtant déjà embouteillé du triathlon, comment expliquez-vous cette success-story ?
St-Yorre est la seule eau qui est naturellement bonne pour le sport de par sa composition unique riche en minéraux. Les triathlètes l’ont testée et l’ont adoptée.

Saint-Yorre est déjà installé dans le rugby et tente le pari triathlon à l’image de la marque Skoda. Pourquoi, justement, avoir misé sur le triathlon ?
Le triathlon est un sport d’endurance où l’hydratation est clé à toute phase (avant, pendant et après). L’hydratation est la clef pour performer dans tous les sports !

Saint-Yorre défend la cause « course propre » que vous souhaitez véhiculer sur les rendez-vous triathlon ?
Nous voulons sensibiliser les sportifs aux gestes propres et à jeter les bouteilles dans les bacs de tri. Tout le monde doit être engagé dans cette bataille pour l’environnement.

Saint-Yorre s’appuie, aujourd’hui, sur une équipe de coureurs qui vous apportent une visibilité encore meilleure. Quels sont les retours des triathlètes consommateurs de l’eau minérale ?
Ils sont «addict» à la St-Yorre car ils ont compris les bénéfices d’une bonne hydratation et d’un corps bien hydraté grâce à une eau riche en minéraux. Avant une course, les hypermarchés sont dévalisés !

Dans une discipline où la préparation reste exigeante et l’attente des triathlètes de plus en plus pointue, comment Saint-Yorre vit la concurrence avec les autres eaux minérales ?
Sereinement car St-Yorre est une eau unique, il n’y a pas d’équivalence avec une eau concurrente ! Elle est 4 fois plus minéralisée que la moyenne des eaux et sa composition bicarbonatée et sodique correspond parfaitement au besoin des sportifs.

La marque a-t-elle déjà réfléchie aux produits dérivés qui pourraient être mis à disposition des triathlètes ?
Oui, la St-Yorre pourrait être complétée par un apport en glucide naturel mais cette St-Yorre serait faite de manière industrielle avec des contraintes de conservation. Pour l’instant, on n’a rien trouvé de plus naturel que d’ajouter du jus de raisin à de la St-Yorre dans le cas d’un
effort prolongé.

La France compte environ 80 eaux minérales naturelles. Pourquoi, en définitive, optez pour Saint-Yorre ?
Toutes les eaux minérales ne se ressemblent pas. St- Yorre a une composition unique en minéraux associant du bicarbonate et du sodium, c’est l’eau la plus riche en minéraux.

Sur le volet écologique, Saint-Yorre se pose comme un fervent défenseur de l’éco-responsabilité. Qu’en est-il sur le terrain et comment se traduit cet investissement auprès des coureurs ?
St-Yorre intervient dans l’organisation des courses pour éduquer en amont et pendant la course, les coureurs à une course propre. Des dispositifs de tri sont systématiquement proposés aux coureurs. Notre société a fait un choix stratégique inédit il y a 10 ans : créer sa propre usine de recyclage de plastique Roxpet dans le Nord de la France. L’usine de recyclage du groupe transforme les bouteilles vides, issues du tri sélectif, en une nouvelle matière première recyclée de qualité alimentaire, qui permettra la fabrication de nouvelles bouteilles dans les différentes usines du groupe. Les bouteilles peuvent donc avoir une deuxième vie, c’est le cercle vertueux de la bouteille 100% recyclable à la bouteille réellement recyclée.

Partenaire de plus d’une centaine de courses de renom dont l’Embrunman, l’Ironman de Nice, les 20 km de Paris, le marathon du Mont Blanc, quelle sera la stratégie de la marque Saint- Yorre pour durer et tenir le rythme du triathlon ?
Comme St-Yorre est l’eau réclamée par les triathlètes, St-Yorre continuera à être partenaire des triathlons et d’autres sports de manière naturelle.
Nous sommes très sollicités par les organisateurs d’événements et entretenons une belle relation de confiance avec eux. Nous avons un nombre impressionnant de messages positifs de consommateurs sur les réseaux sociaux, de témoignages, nous allons continuer dans ce sens, aucune raison de nous arrêter !

A ce titre, quelles ambitions nourrissez-vous dans les années qui viennent et notamment l’année pré- olympique ?
Notre ambition serait d’être reconnue comme l’eau des triathlètes et par extension l’eau des sportifs ! Pour cela nous allons renforcer notre présence sur les grands événements ! Notre objectif est de continuer d’être au plus près des sportifs afin de leur assurer la meilleure hydratation possible.

Avec plusieurs millions de bouteilles produit par an, Saint-Yorre reste une valeur sûre en France, c’est un argument de poids en vue de votre opération séduction…
Oui tout le monde connait le slogan «ça va fort» qui date des années 80, depuis St-Yorre a fait son chemin pour convaincre les sportifs de ses vertus. Elle fait partie du patrimoine des marques françaises.

A combien se chiffre l’investissement de Saint-Yorre sur la planète running ?
Nous ne communiquons pas nos chiffres mais notre principale stratégie est d’occuper le terrain avec des courses de tout type (triathlon, trail, running, vélo) sponsorisées chaque année.

St-Yorre permettrait aux sportifs de mieux se réhydrater et de mieux récupérer, pouvez-vous nous en dire plus ?
L’acidité excessive produit par le muscle est l’une des composantes
de la fatigue musculaire qui limite en premier temps la puissance du muscle et qui peut aboutir à terme à l’épuisement musculaire et un abandon sur une course ! St-Yorre donne un coup de pouce à l’organisme en cas de production importante d’acide lors d’une activité physique. Elle peut donc être consommée avant, pendant et après l’effort. Avant pour constituer une réserve de minéraux. On recommande de boire une bouteille par jour, cinq jours avant une course ou entrainements intenses. Pendant, pour éviter une surchauffe de l’organisme et aider à tamponner l’acidité gastrique et musculaire. Après elle est idéale pour bien se réhydrater et aider à lutter contre l’acidose. C’est l’action conjointe des minéraux de St-Yorre et en particulier du bicarbonate – c’est l’eau la plus riche en bicarbonate avec plus de 4g/litre loin devant ses concurrents – qui explique son efficacité. Elle est prouvée par une étude scientifique.