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Edito

Les courses Ironman qui se multiplient dans le monde, les courses
du circuit Challenge Family, la Superleague, la Collins Cup, les WTS, les
courses ITU, les courses sans labels, les épreuves nationales comme
les régionales…

Bref, autant de courses ont de quoi donner le tournis et brouiller parfois
un peu les pistes. Doit-on s’en plaindre ou au contraire s’en réjouir ? En
effet, ce sont autant de vitrines pour notre beau sport qui se médiatise
toujours plus. Il n’est plus nécessaire de payer un abonnement sur le
câble ou une chaîne cryptée pour voir du triathlon à la télévision et on
ne va pas s’en plaindre. Est-ce que les triathlons exhibitions sont une
atteinte à l’essence même de notre sport. On pourrait répondre par
l’affirmative si cette essence était une et unique. Mais le triathlon c’est
bien plus un esprit qui se conjugue à tous les temps. Ces épreuves sont
une vitrine, mais ce qui est sur, c’est qu’elles ne remettent pas en cause
une chose : la performance de l’athlète.

Cette année, il nous faudra ajouter les Jeux olympiques et les Jeux
paralympiques. Et c’est tant mieux ! En 2020, nous allons encore
« vibrer triathlon ».

la redaction

D’aprés une idée originale de TC, réalisé par Jacvan.
Ont collaboré á ce numéro :
Photos couverture :
Nicolas Geay, Geoffrey Memain, Gwen Touchais, Simon Billeau, Jean-Baptiste Wiroth, Romuald Vinace, José Luis Hourcade (@ChallengeDaytona), Jacvan @
activ’images, Yann Foto, A.Brebant, Y Semat, Thatcameraman, F-Boukla, Jacvan Activimages et vous.

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